A propos du séminaire, c’est un séminaire de haut niveau qui n’a jamais existé au niveau de l’Afrique Centrale. C’est un séminaire adressé spécialement aux arbitres mais l’on a associé les entraineurs. Ne seront considérés comme arbitres que ceux qui auront participé aux différentes formations sanctionnées par des brevets.
Depuis son avènement, la Conaju ne perçoit rien jusque-là du côté du Gouvernement congolais. La Conaju a pris en charge à 100 % les athlètes ayant participé à l’Open de Dakar et à l’Open de Yaoundé. Cependant, le judo faisant parties de disciplines retenues pour les 9è Jeux de la Francophonie, la série du programme par rapport à la prise en charge de l’équipe nationale sera communiqué. Concernant les missions dévolues à la Conaju, elle a conçu un logiciel de gestion de modules d’identification pour entre autres clubs, ententes, ligues. Cela constitue les bases des données pour identifications.
Quant au nombre des participants au séminaire, le nombre de 100, c’est l’ensemble des arbitres et entraineurs ayant déjà souscrits. Cependant, l’enregistrement continue. A ceux qui lui prêtent d’intention propagandistes de se représenter lors des élections attendues à la Fénacoju, Me Nico Lianza s’est étonné de la question en s’interrogeant qu’est-ce qui donne cette impression. Et de répondre qu’on lui laisse bien faire son travail. Il est conscient de la situation du judo. L’avenir c’est aujourd’hui. Lui conjugue le judo au présent. Son leitmotiv =bien faire le travail pour lequel il a été désigné. Et de conclure : ‘’C’est l’amour du judo. Moi Nico Lianza, je passerai. Après nous, il y aura des gens qui vont diriger. Tout ce que je fais, c’est l’amour du judo. Tous ceux qui aiment le judo, venez. D’abord le judo, après le judo et nous, nous n’allons pas échouer’’.
Répondant à la question relatif à la décision du Conseil d’Etat qui a reconnu le pouvoir du Comité Bobo Mbongo, Me Nico Lianza y a réservé une réponse explicitée tant en français qu’en lingala pour la compréhension de tous. Première précision de taille qu’il apporte. Le conseil d’état a pris une décision judiciaire qui suspendait les effets d’un arrêté mais il y a un recours qui a été introduit. Et deuxième précision de taille, les fédérations sportives sont des asbl. Il y a tripledegré de légalité pour les fédérations sportives :
1. Respect de la loi des asbl dans un secteur particulier
2. La loi sportive
3. Les Droits internationaux, obéir aux statuts des organismes internationaux UAJ et FIJ. A ce sujet, les fédérations sportives n’appartiennent pas aux états mais aux organisations internationales qui les régissent.
Antoine Bolia